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Les globe trotters autunois

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22 janvier 2013

FIn du Trajet en thailande

Copie de Copie de carte_thailande - Copie

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19 janvier 2013

Retour prématuré en France.....

Le voyage se termine donc là, à Kuala Lumpur, ce dimanche soir 13 janvier, alors que nous ne devions rentrer que le 5 mars. On a quand même circulé à travers la Thaïlande pendant plus de 6 semaines. Cependant, notre intention est de revenir dès que possible car l'objectif principal était quand même les volcans de Sumatra. Décision est prise de reprendre un vol Paris-Kuala Lumpur (on choisira la date en temps voulu), de finir de visiter la Malaisie (une dizaine de jours) et d'aller à Sumatra tout le reste du temps. On pourrait se rajouter Bornéo. Ce sera un voyage d'au moins deux mois et demi.

En début de soirée, un taxi nous amène à l'aéroport de Kuala Lumpur distant de 50 km de la ville. L'avion décolle dans la nuit, remonte vers la Birmanie, passe au-dessus de l'Inde et l'ouest de l'Himalaya, survole la Mer Caspienne, le sud de la Russie, de la Pologne, l'Allemagne et plonge sur Paris où il fait 0°C. Nous étions à 32°C il ya à peine quelques heures................!!

P1131381Aéroport de Kuala Lumpur.

Attente d'un TGV pendant 3 h à la gare de Lyon et on retrouve Autun et le froid hivernal (qu'on avait voulu fuir en partant 3 mois!!) en début de l'après-midi de ce lundi 14 janvier. Il y a un an déjà, nous partions aux Philippines.

P1141397Salle d'attente de la gare de Lyon.

On revient, d'accord, plus tôt que prévu, certes, mais on a des projets plein la tête. Outre les nombreux voyages à faire avec notre fourgon à travers la France et l'Europe, il y a à nouveau St Jacques de Compostelle par la voie de Vézelay cette fois. Départ prévu fin août 2013. Et puis après, il y a encore La Bolivie, la Nouvelle Zélande, l'Alaska, etc. et bien sûr le retour vers Sumatra....

P1151409Autun sous la neige....

 

P1151410Cécile qui se désolait avant de partir le 5 décembre de ne pas voir la neige cette année. La transition est plutôt brutale!

19 janvier 2013

De Hat Yai à Kuala Lumpur (Malaisie)

Jeudi 10 janvier, nous quittons Hat Yai dans un beau bus, bien confortable, direction Kuala Lumpur. Passage de la frontière entre la Thaïlande et la Malaisie. Nous quittons donc définitivement la Thaïlande et on ne pense pas y retourner un jour. Voici donc la Malaisie, une nouvelle monnaie, de nouveaux paysages et une organisation de la vie un peu différente de celle de la Thaïlande.

Arrivée la nuit tombée à Kuala Lumpur après 10 heures de voyage. On débarque dans une ville totalement inconnue et nous cherchons un endroit où dormir. Nous trouvons finalement dans le Chinatown qui grouille de monde. Mais la guest-house n'est pas terrible et pourtant nous ne sommes pas difficiles habituellement.

P1111302Les magasins chinois se couvrent de décorations pour les prochaines fêtes du Nouvel An

On change de guest-house le lendemain matin. On trouve un petit hôtel très bien, tenu par des Chinois très sympathiques et c'est très propre. Cela change des guest-houses pour routards proposés dans les guides qui sont bruyants et crasseux. On réussit à réserver des billets d'avion sur Malaysia Airlines pour dimanche soir 13 janvier à 23 h 50.

P1121331Petit restaurant dans les ruelles du "Chinatown" de Kuala Lumpur.

D'ici là on le temps de visiter la ville de Kuala Lumpur, ce qu'on fera les journées du 11, du 12 et du 13 janvier. On connaîtra par coeur toutes les rues et ruelles du quartier chinois, on ira jusqu'au parc botanique en essayant ainsi d'éviter d'être pris dans une grande manif politique le samedi 12, et on admirera les "Twins Towers", les tours jumelles  locales.

P1131351Les tours jumelles de Kuala Lumpur.

 

P1131346Tee-shirt aux couleurs de la Malaisie avec le petit drapeau du pays.

P1131380On dépense nos derniers sous en mangeant des glaces.

19 janvier 2013

De Ko Lipé à Hat Yai

Ce mardi 8 janvier, après la petite bagarre avec ce restaurateur du " FINO RESTAURANT", nous quittons l'île de Ko Lipé. La décision est prise. Nous devons rentrer en France devant la situation décrite par Olivier, le frère de Cécile. Il appelle à l'aide et ne peut plus gérer les contraintes nouvelles dues à la dégradation de la santé du père de Cécile (98 ans cette année).

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On embarque sur un "Long Tail" pour quitter Ko Lipé

Le voyage se termine donc là. Mais encore faut-il rejoindre un aéroport international. On hésite entre Bangkok et Kuala Lumpur capitale de la Malaisie. On finit par choisir Kuala Lumpur un peu plus proche.

On embarque de la plage de Ko Lipé en tout début d'après-midi et on rejoint en bateau Pak Bara

De là, en van, nous roulons jusqu'à Hat Yai, troisième ville du pays, où nous faisons étape. Nous y restons la journée du mercredi 9 janvier à faire des recherches sur Internet pour avoir un billet d'avion a un prix acceptable, à contacter les assurances (celle de notre carte Gold au Crédit Agricole et celle souscrite chez Go Voyage). Aucune des assurances ne prend en charge cette situation de retour. On passe une partie de la journée à traîner en ville, à aller dans les marchés.

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Dans les rues de Hat Yai

18 janvier 2013

Coups de poing sur l'île de Ko Lipe......

            Notre séjour sur l'île de Ko Lipe aurait pu mal se finir: soit à l'hôpital , soit en prison!

Voici le texte écrit sur Facebook qui relate nos dernières heures sur l'île. Je m'adresse à mes anciens élèves avec lesquels je garde des relations

"Imagineriez-vous votre ancien professeur de Biologie, à la retraite, 64 ans, faisant le coup de poing sur une petite île entre la Thaïlande et la Malaisie?

 

Et bien, c'est arrivé!!!!

 

Je pense que ma dernière bagarre à coups de poing doit dater de l'époque lycée, en sixième et cinquième très souvent ("Gare à ta gueule, je t'attends à la sortie du lycée!" phrase mainte fois entendue) et une fois en troisième. Mais quelle est l'histoire?

 

Tout commence par la recherche d'un endroit d'accès à Internet par WiFi interposée. On pratique ainsi partout en voyage et cela n'a jamais posé un seul problème. On nous signale un restaurant, le "FINO RESTAURANT" (retenez bien ce nom!) donc sur cette île de Ko Lipe en Thaïlande (dès fois que vous y alliez un jour!), à la frontière avec la Malaisie, île sur laquelle on séjourne depuis quelques jours. Il parait que la WiFi y marche très bien et nos amis Français rencontrés lors de la sortie snorkelling y vont tous les jours depuis 10 jours qu'ils sont là. On a absolument besoin d'une bonne connexion car on est en démarches pour pouvoir rentrer en France rapidement (en fait il nous faudra pratiquement une semaine pour retrouver Autun) du fait de la dégradation brutale de la santé de mon beau-père qui cette année file sur ses 98 ans. Seulement, il paraît que ce restaurant est cher. On va donc y consommer la veille au soir, lundi 7 janvier, une boisson et on bosse sur Internet une partie de la soirée.

 

Le lendemain matin, mardi 8 janvier, on s'y recolle. Ce n'est pas une partie de plaisir car il aurait été plus agréable de profiter des beautés de l'île et de ses eaux turquoises... On retourne chez ce "FINO RESTAURANT". Je rappelle bien ce nom une nouvelle fois pour ceux qui, un jour, passeraient par là et voudraient y dépenser ses sous. On commande des cafés glacés comme on le fait chaque matin partout ailleurs. Au bout d'une heure environ, celui qui apparait comme le responsable ou le gérant du restaurant, la toute petite cinquantaine, se présente devant nous, l'air très agressif (On nous dira plus tard qu'ils sont deux à tenir ce restaurant. Donc on ne parlera bien sûr que de celui avec qui on va avoir des explications. L'autre gars est peut-être très bien). Avec son accent thaï il s'adresse à nous en un anglais assez approximatif. Donc pas facile à comprendre. Mais vue l'attitude, on soupçonne qu'il est contrarié. Il nous dit que cela fait une heure qu'on est là, qu'on vient tous les jours (c'est vrai, on est venu là la veille, mais c'est tout. Et nos amis Français qui y sont venus pendant 10 jours? Et puis, on consomme, certes peu, mais quand même. Sans sa WiFi on ne serait jamais venu chez lui!), que cela lui coûte cher (bizarre? la WiFi?), bref, qu'il faut qu'on dégage. Tout ceci est dit avec beaucoup de colère, de la menace, et le gars est très véhément.

 

On plie notre matériel en lui expliquant qu'un membre de notre famille est très malade, qu'il va peut-être mourir rapidement et qu'on cherche un billet d'avion et régler des histoires d'assurances. Mais le gars n'en a rien à foutre et il continue à nous dire de partir, toujours avec beaucoup d'agressivité. Je reste toujours calme et c'est avec tranquillité que je lui dis que je note son comportement et que j'en ferai part sur les réseaux d'Internet (ce que je fais actuellement). Il me répond "I don't care!". Il s'en fout, mais moi aussi et je lui répète ce que je ferai dans les forums de discussion. De plus, je lui explique qu'on aurait pu rester là à midi et manger sur place tout en continuant nos démarches sur Internet. Jusque là, tout va bien ou presque...

 

Arrive le moment de payer l'addition des deux boissons prises. Surprise! La note est plus élevée que sur la carte présentée à notre table par la fille de service. On s'en étonne. Avec une certaine fébrilité et beaucoup d'énervement, le type sort une carte de derrière son comptoir et nous montre le tarif de ces boissons. On lui fait remarquer qu'il y a un léger problème car ce n'est pas la même carte. Il insiste. Nous aussi. Cela l'énerve un peu plus. La fille interveient avec en main la carte qu'elle nous a présentée. Elle discute en thaï avec son "patron". Elle a l'air un peu gênée. On croit qu'on va en rester là et qu'on va payer la somme indiquée sur notre carte présentée par la fille, même si la tension reste palpable. Mais, on en a vu d'autres et mêmes des situations tendues pires que celle là. Et pourtant la surprise va arriver...

 

Tout à coup, comme si le gars se sentait pris en défaut, soupçonné de malhonnêteté, son visage se décompose en un instant. Il tend son bras vers moi et me saisit à pleine main, avec ses doigts crochus me rentrant dans la peau, le muscle de l'épaule gauche. On aurait dit un rapace fondant sur sa proie. Réflexe: je me retire en arrière aussitôt et je lui dis : "Don't touch me!". C'est alors que je le vois prendre son élan et il m'envoie son poing de toutes ses forces, toujours dans l'épaule gauche. Cette fois, c'est un autre réflexe que j'ai. Je lui fiche mon poing droit dans la poitrine, mais pas dans la tronche (instant de brève réflexion) ce que j'ai failli faire. En même temps que je fais partir le poing, je retiens mon bras pour ne pas faire trop mal. Dans un éclair de lucidité je pense aussitôt aux conséquences que cela pourrait entraîner. La fille se jette sur son "patron" pour le retenir car il commence à me menacer en visant le visgae. J'attends le coup, mais il ne vient pas. Il reste le bras levé au-dessus de sa tête, poing en avant. Je pense un instant que cela va aller plus loin, que cela va dégénerer, mais le gars ne fait que menacer et il rabaisse le bras.

 

Alors que je dis qu'il est "complètement malade ce mec là", lui continue à m'injurier avec son doigt en l'air et des "Fuck you!" en veux-tu, en voilà. Je constate  que nous ne "jouons" pas forcément dans le même registre et que son QI doit-être celui d'une méduse! J'allais dire celui d'un Invertébré, mais je me demande si le poulpe n'a pas un QI plus élevé que le sien...

 

Finalement, nous payons la somme convenue dès le début, sans majoration, et cela fait enrager ce type. Comme pour continuer la provocation à laquelle on ne répond pas, il continue, obstiné, avec ses "Fuck you!" plein la bouche.

 

On se quitte là-dessus, pas bons amis du tout.... Les autres clients sont restés le nez dans leur assiette pendant toute l'altercation. Ils n'ont rien vu, rien entendu! Je regrette cependant ma réaction de riposte qui aurait pu me coûter cher. J'ai perdu un instant mon contrôle et je m'en veux de ce côté là. Mais ce fut comme un réflexe d'autodéfense. J'aurais du dire à Cécile de prendre le caméscope et j'aurais retendu mon épaule au gars en lui disant: "Do it again!". Mais il aurait été capable de s'en prendre au caméscope et de le casser...

 

Le soir même j'ai été sur Google pour voir ce qu'on pouvait dire sur ce restaurant FINO et je suis tombé sur un forum dans lequel un gars écrit en parlant de ce même FINO RESTAURANT de Ko Lipé: "Don't spend your money there!". On n'en sait pas plus, mais il a du se passer quelque chose également.

 

Donc, si un jour vous passez par là, allez saluer ce gars de ma part (l'ennui, c'est qu'on nous a dit qu'il y en avait deux et on ne sait pas à quoi ressemble l'autre). Mais prenez vos précautions, faites de la musculation, car le gars frappe dur..... Quelle aventure les amis!!!"

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16 janvier 2013

l'ile de ko lipe

          Le 5 janvier nous filons en van vers l'extrème sud de la Thailande. Au port de Parbaka, nous embarquons dans un bateau rapide et en 1 h et demi nous arrivons sur la petite île de  Ko Lipe. Elle fait partie de l'archipel des îles Turatao au milieu de la mer d'Andaman.  Cette île est la plus touristique avec ses plages de sable blanc et son eau turquoise. Les autres sont accessibles en bateau, on peut y séjourner également mais les infrastuctures touristiques sont très restreintes et il n'y a pas grand chose à y faire à part se baigner  ou se balader dans la forêt vierge.

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          Nous trouvons difficilement un bungalow au bord de l'eau, mais comme ce n'est pas trop dans nos prix habituels, nous faisons le tour de l'île afin de chercher autre chose pour les nuits suivantes. Le soir venu, nous profitons d'un magnifique coucher de soleil.

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          Le lendemain, après avoir changé de guest house, nous restons à nous baigner en faisant du snorkelling, à nous reposer à l'ombre des palmiers et à siroter des jus de fruits ou à nous "alcooliser" avec de la bière...

DSC03940                                                                                              Changement de guest-house. Un mignon petit chat nous suit.                                   

P1051150                                                                                                                Des eaux transparentes bien attirantes

 

P1051171                                                                                                                               Deuxième soirée sur l'île

 

P1061192                                                                                                   Diner sur la plage tout en admirant ce coucher de soleil

         Le deuxième jour, nous partons en bateau avec 2 autres couples pour faire le tour de tous ces petits îlots et plonger dans cette eau transparente au dessus de fonds magnifiques couverts de coraux  et de poissons multicolores.

P1071211                                                                                        Sur le bateau nous amenant faire du snorkelling (plongée en apnée)

 

P1071230                                                                                                                                     Cécile est ravie....

 

P1071225Sans être spectaculaires, les fonds procurent quelques plaisirs dans une eau belle et chaude. Tee-shirt de rigueur pour éviter les coups de soleil même quand le ciel est couvert.

         

15 janvier 2013

Krabi et sa région

              Heureusement que ce ne sont que quelques kilometres qui nous séparent de la ville suivante Krabi. En effet c'est assis par terre à l'arrière du bus, à côté de nos gros sacs, que nous effectuons ce trajet d'une heure et demi. Ce bus est archi comble, avec du monde debout dans l'allée centrale.

DSC03777Vue depuis le port de Krabi

 

DSC03792A la recherche de gastéropodes fossiles

 

              Ici, à Krabi, nous allons rester 2 jours. C'est un peu plus loin dans la baie de Phang Nga et l'on retrouve le même genre de relief karstique avec des iles majestueuses mais aussi des belles petites plages malheureusement envahies par les touristes!

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             Une première journée bien occupée en balades à pied, en bateau, bains et snorkelling et repas du soir dans le marché de nuit.

             Le lendemain nous nous payons un "tour", mais malheureusement, ce n'est pas comme la dernière fois. Nous sommes presque une centaine sur un gros bateau. On nous dépose sur une plage bondée de monde, on repart, on fait du snorkelling ( il n'y a pas grand chose à voir!). Puis sur une plage, c'est la queue pour atteindre un petit buffet composé de riz, légumes et poulet.

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            Bien sûr de beaux paysages, mais ces photos ne montrent pas l'afflux touristique...

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15 janvier 2013

La baie de Phang nga

    

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        En ce 1er janvier 2013, nous partons avec un petit groupe de 5 autres personnes, nous balader en bateau dans cette fameuse baie. Après avoir traversé une grande zone de mangrove, nous arrivons au milieu de petits îlots. Certaines de ces îles sont des pics rocheux ou des formations calcaires de diverses formes et de différentes tailles qui atteignent parfois 300 mètres de haut et s'élèvent majestueusement au-dessus d'une paisible mer turquoise peu profonde. Visite de grottes en bateau, bain dans l'eau transparente, repas entre 2 îles, arrêt dans un village flottant et sur l'île de "James Bond" voilà notre première journée de 2013....

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15 janvier 2013

De Ranong à phang nga

   

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       Le 30 décembre, dans le bus pour Kao Lak, un Allemand connaissant bien le coin, nous dit d'aller plutôt à Thai Muang. Chose faite, mais ce n'est pas du tout touristique et nous devons faire du stop pour rejoindre l'immense plage du coin. Nous sommes seuls à marcher au bord de l'eau. Le soir nous mangeons comme les Thailandais dans un petit boui boui.

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           Le lendemain, avec 2 bus nous atteignons la petite ville de Phang Nga. Nous sommes installés dans une belle guest house pour plusieurs nuits. Nous marchons une dizaine de kilometres pour visiter des grottes et le soir venu, nous cherchons un bon resto pour "reveillonner" jusqu'à... 21 h. Mais c'est difficile de trouver quelque chose qui sort de l'habituel et d'ailleurs nous ne trouvons rien de particulier. Nous trinquons à la bière avec une assiette de riz, quelques légumes et 4 crevettes...

 

2 janvier 2013

Trajet depuis Kanchanaburi jusqu'à Phang Nga

Copie de Copie de carte_thailande

 

2 janvier 2013

Quelques photos de ces moments là

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Reflets des rayons du soleil sur les eaux du Golfe du Siam en fin d'après-midi à Hua Hin

 

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Dans le train, wagon de 3ème classe entre Hua Hin et Chumphon

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 Une belle assiette de blattes bien grasses sur le marché de nuit de Ranong

1 janvier 2013

De Kanchanaburi à Ranong

Le jeudi 27 décembre nous quittons Kanchanaburi pour entamer la longue descente vers la Malaisie, ceci en plusieurs étapes. Mais avant de quitter la ville nous visitons le musée relatant les conditions de vie des prisonniers qui ont construit la voie ferrée.

Un bus, puis un van nous conduiront jusqu'à la ville côtière de Hua Hin sur les bords du golfe du Siam. Le tourisme s'y est développé et les rues ainsi que les restaurants sont remplis d'Occidentaux et d'Asiatiques, essentiellement des Chinois et des Japonais. L'ambiance ne nous plait guère.

Nous repartons donc le lendemain, en train cette fois, pour une très longue journée de voyage très pittoresque avec la population locale jusqu'à Chumphon. De cette ville on peut rejoindre l'île de Ko Tao. Mais il y a trop de touristes sur cette île et nous passons la nuit à Chumphon avec l'intention de continuer notre descente vers le sud dès le lendemain.

C'est en van que le voyage va se poursuivre le 29 décembre en direction de la côte ouest de la péninsule malaise jusqu'à Ranong. la chaleur y est écrasante. Pas ou si peu de touristes. Les gens ne parlent pas anglais et les échanges sont difficiles. Cette étape reste marquée par un très grand marché de nuit où l'on passera la soirée. Nous mangeons avec les Thaïlandais ce que proposent les petits marchands qui ont investi les lieux la nuit venue. De bonnes odeurs de grillades embaument les narines, des shakes savoureux multicolores sont autant de tentations...

31 décembre 2012

2 photos du train sur la rivière Kwai

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29 décembre 2012

Trajet jusqu'à kanchanaburi

Copie de carte_thailande

29 décembre 2012

Quelques photos

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                    Voici l'un des gentils petits singes qui nous ont tenus compagnie un moment.

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                                     Devant un tricycle

 

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                                   De bonnes brochettes vendues dans ces nombreux marchés de nuit

26 décembre 2012

depuis kanchanaburi à l'ouest de Bangkok

                  Le 22 décembre nous quittons Chiang Khong pour Lampang. Deux bus nous y mènent.  Soirée à déambuler dans un marché de nuit typique thaïlandais. Le lendemain, c'est en train que nous descendons jusqu'à la ville de Lopburi au nord de Bangkok. Partis à 11h du matin ,nous arrivons à 19h 30 sur place. L'Empire Khmer y a laissé  de nombreux temples en ruines, certains étant envahis par les singes.

                   Dans la journée du 24, nous visitons ces différents temples, et nous nous amusons à observer les singes vivant librement au milieu de la population. Reveillon de Noël dans un petit restaurant populaire thaïlandais devant une assiette de riz aux crevettes.

                    Le jour de Noël ,un jour pour nous comme les autres, nous gagnons la ville de Kanchanaburi avec 3 bus successifs pour y découvrir le site du pont de la rivière Kwaï. Nous y avons chanté dessus "Hello, le soleil brille, brille, brille...."

                   Aujourd'hui, 26 décembre, nous empruntons le petit train qui mène par cette voie férrée construite par les Japonais jusqu'au village de Nam Tok à la frontière de la Birmanie. En effet, les Japonais avaient l'objectif d'envahir, au cours de la 2ème guerre mondiale, l'Inde. Rien de moins que celà! Ils avaient besoin d'une voie de communication entre la Thaïlande et la Birmanie. Ils firent travailler de force dans des conditions épouvantables des prisonniers de guerre principalement Anglais et Australiens mais également des civils locaux et des pays environnants. Ils ont tué ainsi environ 120 000 personnes à cause des maladies tropicales, des tâches harrassantes, des sévices et tortures diverses. C'est en pensant à toutes ces victimes que nous avons été le long de cette voie de chemin de fer. J'avais vu le film de 1957 du Pont de la Rivière Kwaï dans un cinéma de Phnom-Penh au Cambodge en 1959 ou 1960. Mes parents ne voulaient pas que j'y aille car ils craignaient des manifestations hostiles de la part du public asiatique. Mais il n'en a pas été question bien sûr. J'ai été profondément marqué par ce film comme toute ma génération. Me retrouver sur les lieux est une émotion. Mais cela va me valoir une blessure au genou gauche car, en marchant au-delà de Nam-Tok, sur les traverses de la voie ferrée au-dessus d'un viaduc non protégé, l'une de mes jambes est passée entre deux traverses au-dessus du vide. La suite du voyage se fait donc en boitant, mon krama cambodgien noué autou du genou afin de mieux le tenir. Un ligament un peu étiré ou écrasé sans doute. Un "souvenir" du Pont de la rivière Kwaï....

21 décembre 2012

Depuis Chiang Kong

                           Nous avons quitté Chang Mai pour Taton, au bord de la rivière Nam Kok. Deux nuits sur place le temps de prendre un véhicule  de transport en commun pour grimper dans les montagnes à la frontière birmane jusqu'au village de Mae Salong. Des femmes Mhongs en costume traditionnel vendent leur artisanat sur les marchés locaux.

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                           Puis nous rejoignons Chiang Rai en bateau sur la Nam Kok en traversant un paysage de montagnes sauvages couvertes de fotêts vierges par des rapides qui éclaboussent les passagers.

 

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                          De Chang Rai nous gagnons en bus le Triangle d'Or à partir de la petite ville de Chiang Saen. En effet, depuis Chang Saen nous remontons le Mékong en bateau jusqu'à cette fameuse frontière qui sépare la Thaïlande de la Birmanie et du Laos.

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                          Enfin, le 21 décembre, nous prenons une route vers le sud qui suit le Mékong et nous amène à Chiang Kong point de passage avec le Laos. 4 h pour faire 53 km.. Nuit au bord du Mékong qui coule tranquillement vers Louang Prabang au Laos.

16 décembre 2012

Trek dans les montagnes du nord de la Thaïlande

                Du vendredi 14  au dimanche 16 décembre, nous parcourons les montagnes au nord de Chang Mai. En compagnie de 7 autres personnes et de 2 guides, ces trois journées nous  permettent de faire une petite virée à dos d'éléphants, mais surtout de gravir, sacs sur le dos, les pentes parfois très raides des montagnes séparant la Thaïlande de la Birmanie. Parfois, le chemin est à tracer au coupe-coupe à travers la végétation. Le guide frappe, au préalable, les hautes herbes et les buissons afin de faire fuir les éventuels cobras et autres bestioles de ce genre qui traînent dans les parages. On avance ainsi pas à pas ce qui permet aux moustiques de se régaler de notre sang...

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                      Si la première journée fut assez physique, les deux suivantes sont plus tranquilles. On passe de cascades en cascades au milieu de la forêt vierge avec des moments de détente en plongeant dans l'eau fraîche, presque froide.

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                                Nous passons deux nuits dans des paillotes au milieu de la montagne à plus de 1000 m d'altitude. Les paysages sont splendides notamment au lever et au coucher du soleil.

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                       Le dernier jour, nous finissons le trek par la descente d'une rivière en rafting. Moment de décontraction et de rafraîchissement avant de quitter nos amis du moment: 3 Anglais, 2 Hollandaises, 1 Français et 1 Coréen. Trois jours à ne parler qu'en anglais ou presque...

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13 décembre 2012

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13 décembre 2012

Depuis Chiang Mai

                       Le 10 décembre, notre route nous amène toujours un peu plus vers le nord de la Thaïlande, non loin de la frontière birmane. Après Ayutthaya, un bus nous transporte, au bout de 6 heures, à Sukhothaï. Là, nous louons des vélos et nous passons la journée du 11 décembre à visiter les temples de la vieille cité historique, temples datant des 12eme et 13ème siècle.

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                Le 12 décembre, encore 5 heures de bus dans un paysage de plaine très monotone et sans beaucoup d'intérêt nous fait découvrir la ville de Chiang Mai. Au début du 20 ème siècle aucune route n'y menait. Aujoud'hui, c'est la deuxième ville du pays. Devenue une destination touristique, les voyageurs qui y débarquent voient s'offrir de nombreuses activités. L'atmosphère est moins lourde que dans la plaine car l'altitude est un peu plus prononcée. Il y a des guest-houses pour routards un peu partout et les dizaines de petits restaurants sont tous aussi attirants les uns que les autres. Ambiance détendue assurée.

                            Le 13 décembre, la journée est occupée par une sortie hors de la ville pour aller voir de très près des tigres et des serpents... Sympa comme tout.

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Copie de DSC03095

                          En fin de journée nous parcourons les rues de la ville à pied pour passer de temple en temple. Demain est prévu le départ pour trois jours de trek dans les montagnes environnantes.            

           

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